PANTHEON
Création d’une bibliotèque du Panthéon.
Projet réalisé en duo avec Rémi Pinto.
Conception des étagères Tatiana Valet & des assises Rémi Pinto.
Projet réalisé en duo avec Rémi Pinto.
Conception des étagères Tatiana Valet & des assises Rémi Pinto.
Les mobiles sont des structures auxquelles sont suspendus des lutrins au
moyen de câbles lestés. Ces lutrins agissent comme les étagères capables d’accueillir les ouvrages
des auteur·ices du Panthéon. Au nombre de trois, ces mobiles portent chacun douze à treize auteur·ices
représenté·es par un coffret chacun·e renfermant un de leurs ouvrages.
Disposés au centre de la crypte de sorte à créer une ligne qui suit sa courbe,
Ils permettent de structurer l’espace sans pour autant empêcher les visiteur·ices de circuler librement.
moyen de câbles lestés. Ces lutrins agissent comme les étagères capables d’accueillir les ouvrages
des auteur·ices du Panthéon. Au nombre de trois, ces mobiles portent chacun douze à treize auteur·ices
représenté·es par un coffret chacun·e renfermant un de leurs ouvrages.
Disposés au centre de la crypte de sorte à créer une ligne qui suit sa courbe,
Ils permettent de structurer l’espace sans pour autant empêcher les visiteur·ices de circuler librement.
Les cubes sont des étagères d’appoint disposés de part et d’autres dans l’espace de la crypte pour permettre aux visiteur·ices d’accéder aux ouvrages qui ne sont pas exposés sur les mobiles.
Construits en écho aux mobiles eux-mêmes, leur squelette en acier laqué noir est percé de trous qui permettent d’y glisser des tiges métalliques pensées pour mimiquer les câbles de maintien des mobiles. Ils servent alors de serre-livres et répartissent le corpus des différent·es auteur·ices. Une couche de feutre au-dessus et en-dessous des cubes permettent de pouvoir les superposer sans les abîmer.
Construits en écho aux mobiles eux-mêmes, leur squelette en acier laqué noir est percé de trous qui permettent d’y glisser des tiges métalliques pensées pour mimiquer les câbles de maintien des mobiles. Ils servent alors de serre-livres et répartissent le corpus des différent·es auteur·ices. Une couche de feutre au-dessus et en-dessous des cubes permettent de pouvoir les superposer sans les abîmer.
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Expérience actuelle à L’UQAM à Montréal
& aux Arts Décoratifs de Paris